transformers decepticons
Dans cet article ,je vais vous citer tout les Transformers decepticons de TF1-TF2-TF3.
Alors commencons avec: MEGATRON(tf1-tf2-tf3)
STARSCREAM:
BLACKOUT:
BRAWL:
BARRICADE:
BONECRUSHER:
SIDEWAYS
DEMOLISHOR:
RAMPAGE:
MIXMASTER:
LONG HAUL:
HIGHTOWER:
OVERLOAD:
SCRAPER:
DEVASTATOR:
RAVAGE:
THE FALLEN:
SOUNDWAVE ET LASERBEAK:
CROWBAR:
HATCHET:
CRANKRASE:
SHOCKWAVE :
DRILLER(LA FOREUSE):
SHOCKWAVE ET DRILLER(LA FOREUSE):
transformers autobots
bon voila , aujourd'hui je vais vous présenter tout les transformers autobots ,du TF1-TF2-TF3.
alors commencons par: OPTIMUS PRIME
BUMBLEBEE:
JAZZ(mort dans tf1):
RATCHET:
IRONHIDE:
SIDESWIPE:
BREAKAWAY:
SKIDS ET MUDFLAP:
ARCEE-CHROMIA-FLAREUP:
JOLT:
JETFIRE:
MIRAGE:
LEADFOOT-ROADBUSTER-TOPSIN:
WHEELJACK(QUE):
SENTINEL PRIME :
WHEELIE:
BRAINS:
voila , j'ai cité tout les noms d'autobots que je me souviens.
transformers 3: linkin park iridescent
Et voila , une tres bonne musique,celle de transformers 3 nommée LINKIN PARK (iridescent)
Ecouter la , ces une vrai oeuvre d'art!
transformers : la chute de cybertron
Il faut bien l'avouer, les Transformers ont rarement été gâtés avec leurs adaptations vidéoludiques. La Guerre pour Cybertron a toutefois su tirer son épingle du jeu et c'est donc avec grand plaisir que l'on accueille aujourd'hui sa suite : La Chute de Cybertron. Espérons simplement que celle-ci saura corriger les quelques défauts qui ont empêché son prédécesseur de devenir un incontournable.
Après nous avoir conté les événements qui ont déclenché la terrible guerre civile de Cybertron, les petits gars de chez High Moon Studios ont choisi de nous présenter le déclin et la chute de la planète d'origine des Transformers. Comme ce fut le cas dans l'opus précédent, tout ceci prend la forme d'un jeu de tir à la troisième personne assez explosif dans lequel on incarne tour à tour des membres éminents des deux forces en présence : les Autobots et les Decepticans. A travers ces deux factions radicalement opposées, on découvre une histoire plaisante et immersive avec en toile de fond une Cybertron en ruine où les survivants se battent pour les dernières sources d'énergie (ou Energon). A ce niveau, il paraît dommage que le joueur ne puisse pas choisir franchement son camp (seul un choix est possible durant l'aventure et celui-ci n'a que peu de conséquences), mais il faut avouer que pad en main, cette relative linéarité ne pose pas vraiment problème tant l'histoire contée est prenante. Notons que l'univers apocalyptique proposé est en outre mis en valeur par des graphismes magnifiques et très détaillés, seulement entachés par quelques bugs et chutes de framerate. On déplorera également le manque de variété dans la palette de couleurs, mais l'ensemble n'en reste pas moins plus diversifié et plus inspiré que l'opus précédent. Cela se fait toutefois au détriment de la quantité puisque la campagne principale ne devrait pas vous occuper plus de 7 heures, en sachant que celle-ci est désormais privée de coopération.
L'histoire contée est très agréable à suivre.
La Chute de Cybertron tente de se faire pardonner en corrigeant une bonne partie des défauts de son aîné, à commencer par la répétitivité. En effet, chacun des 13 chapitres de la campagne permet d'incarner un héros différent et donc de varier les plaisirs. Tous les Transformers disposent ainsi de pouvoirs propres offrant des possibilités de gameplay plutôt sympathiques. Par exemple, Optimus Prime peut invoquer des raids aériens ou même contrôler un Transformer de 2 km de haut quand Cliff Jumper peut devenir invisible l'espace d'un instant. On peut également être amené à jouer de l'épée, à se prendre pour un Tyrannosaure ou même à voltiger tel un Spiderman de plate-forme en plate-forme. Bref, il y a de quoi faire et on passe avec grand plaisir du shooter classique et bourrin à souhait au beat'em all ou au jeu d'infiltration. Les diverses transformations apportent également un plus non négligeable, puisqu'il sera par exemple possible de métamorphoser son personnage en simple voiture, en tank, voire même en avion ou en hélicoptère. Certains peuvent aussi s'assembler afin de former un mecha géant et surpuissant. Bref, ces combinaisons pouvoir / transformation permettent de diversifier l'aventure en offrant notamment des niveaux aux pièges et aux surprises variées.
Malheureusement, de nombreux problèmes sont encore de la partie. On pense ici en premier lieu à l'aspect gadget des transformations qui ne sont utiles que pour franchir quelques obstacles ou zones données. En dehors de cela, l'aspect couloir très (trop) prononcé du jeu rend l'utilisation des véhicules impossible, et ce durant la majeur partie de la campagne. Entendons nous bien, les quelques passages en avion sont tout simplement excellents, mais ceux-ci sont malheureusement trop rares et trop cloisonnés. Cet aspect couloir sera en outre gênant durant les phases d'infiltration. En effet, les ennemis semblent trop souvent vous attendre sagement en regardant un mur ou une console, ce qui limite considérablement l'intérêt de la chose. Par ailleurs, l'absence de système de couverture est une nouvelle fois handicapant, tout comme la rareté des munitions. On est ainsi souvent contraint de revenir en arrière ou de faire le tour d'une pièce afin de trouver de quoi tuer un ennemi, ce qui casse considérablement le rythme du jeu. Il est évidemment possible de combattre au corps-à-corps, mais cela s'avère souvent suicidaire surtout si l'on ne dispose pas de la bonne classe de Transformers. Cet aspect survival risque donc d'énerver quelques joueurs irritables, mais cela ne nuit finalement pas tant que ça au plaisir de jeu.
Les phases en avion sont aussi rares qu'excellentes.
Notons que les collectionneurs pourront parcourir de fond en comble chaque chapitre afin de dénicher des enregistrements audio ainsi que quelques schémas. Les premiers permettent d'en apprendre davantage sur l'histoire et sur les événements qui ont conduits les Transformers sur Terre, quand les seconds débloquent des armes qui pourront par la suite être équipées dans les stations prévues à cet effet. Il devient dès lors possible d'upgrader chaque partie de son joujou en améliorant par exemple le nombre de munitions par chargeur ou la précision. Au bout de trois améliorations, une quatrième est accessible et celle-ci prend la forme d'un pouvoir spécial et surpuissant. Il est également possible d'améliorer le bouclier, la vitesse ou la santé de son Transformer, ce qui n'est ni très original, ni indispensable, mais les compétences ainsi débloquées s'avèrent plutôt plaisantes à l'usage.
Les transformations sont toujours aussi inutiles.
Enfin, nous terminerons en évoquant les possibilités multijoueurs au programme. Tout d'abord, le mode Escalade, permettant d'affronter plusieurs vagues d'ennemis en coopération, est de retour. Celui-ci s'avère plus original qu'il n'y paraît de prime abord puisque les joueurs doivent dépenser leurs crédits consciencieusement afin de débloquer les différentes parties de la map et ainsi trouver de nouvelles armes, munitions et cachettes. Par ailleurs 4 modes compétitifs plutôt classiques sont de la partie : le Team Deathmatch, la Conquête, la Capture de Drapeau et enfin un mode Chasseur. Notons que l'expérience engrangée permet de modifier son personnage en changeant les armes et les munitions employées, le pouvoir, la classe et la faction. On est loin des milliers de possibilités promises, mais cela reste appréciable. Bref, ces modes multijoueurs devraient compléter efficacement une aventure solo un peu courte mais ô combien sympathique. Cette Chute de Cybertron se présente donc comme une bonne pioche, qui, sans corriger tous les défauts de son prédécesseur, est susceptible d'enchanter les fans comme les néophytes du genre et de l'univers Transformers.La, ils ont mis le paquet , c'est le meilleur jeu TF de tout les temps !
transformers : la guerre pour cybertron
Depuis qu'ils ont fait leur retour sur nos consoles les Transformers ont le plus grand mal à s'offrir une adaptation correcte et a échapper au four ludique. Pour une fois, la fatalité ne frappe pas, et si La Guerre pour Cybertron n'a rien d'un chef-d'oeuvre, c'est au moins une déclinaison potable de la franchise qui satisfera les fans.
Le titre ne propose pas de vrai système de couverture.
La plupart de votre temps sera donc occupé à détruire tout ce qui passe devant votre canon, et ils seront nombreux à défiler. Les combats sont longs, fréquents et assez massifs. On défouraille donc assez généreusement et dans toutes les directions. Les bases sont classiques : tirer, se mettre un peu à l'abri quand son bouclier commence à chuter, revenir tirer jusqu'à ce que la zone soit nettoyée de tout ennemi ou tourelle de défense. Avec, régulièrement, des événements plus ou moins spectaculaires à regarder. Évidemment, comme tout titre Transformers, celui-ci vous propose deux campagnes, une par camp. En revanche, contrairement à la dernière fois, les deux histoires sont différents, l'une précédent l'autre. Par ailleurs, à chaque chapitre vous pourrez choisir parmi 3 robots celui que vous souhaitez incarner. Le seul inconvénient à ce niveau étant que les différences sont vraiment peu sensibles une fois en jeu. L'un dans l'autre, de prime abord, le jeu séduit, le rythme est soutenu, l'enrobage assez charmant.
La quête de munitions est incessante et pénible.
Mais diable, pourquoi chaque jeu estampillé Transformers est-il accompagné de décisions de game design discutables ? Par une curieuse pirouette, le jeu vous impose de collecter des munitions et de recharger votre arme manuellement. Un choix déroutant dans l'univers des Transformers dans lequel on s'attendait plutôt à des munitions infinies ou au moins à un rechargement automatique mais admettons. Ce que l'on admet plus difficilement, c'est que High Moon Studio soit aussi radin quand il s'agit de distribuer les munitions. On passe son temps à devoir interrompre les combats en quête d'un éventuel pack qui nous évitera de rester à sec comme un couillon. Et comme si cette quête quasi permanente ne suffisait pas, toutes les armes épuisent leur chargeur à vitesse grand V, vous contraignant à recharger toutes les 36 secondes, ce qui a pour effet de complètement casser le rythme de l'action et surtout de sérieusement irriter le joueur. Quand on ne recharge pas, on fait le tour de la zone en espérant trouver quelques bastos, et avec le temps qu'il reste, on fait ce qu'on est supposé faire : tirer. Du coup, c'est inévitable, les combats perdent en dynamisme et le fait que tous les ennemis soient stupides n'arrange rien à l'affaire.
La plupart des objectifs consistent à activer un bidule.
Reste la question de la transformation, qui est un peu la clef de la licence. La Guerre pour Cybertron s'en sort un peu mieux à ce niveau que son prédécesseur. L'animation a de l'allure et il est parfois possible de réaliser quelques jolies cascade en fonçant à toute berzingue pour sauter sur un ennemis et reprendre sa forme "humaine" près de lui. Mais globalement, on retrouve le même problème que dans La Revanche : l'environnement ne laisse aucune place aux véhicules en étant beaucoup trop étriqué. Ce n'est donc que dans les portions spécialement prévues à cet effet que l'on pourra réellement en profiter, le reste du temps, passer en mode véhicule ne sera possible, ou en tout cas utile, que sur quelques mètres. Par ailleurs, les transformations se ressemblent toutes d'un robot à l'autre en fonction de sa classe. Une fois de plus, LE point crucial de la marque n'est pas exploité correctement. A tel point qu'on pourrait parfaitement remplacer les Transformers par n'importe quel autre personnage, on ne verrait pas la différence. C'est regrettable. En outre, il est bien dommage que deux niveaux seulement permettent d'utiliser des jets.
Et si l'environnement est trop étriqué pour les véhicules, il l'est aussi pour l'esprit. S'il est vrai que l'architecture en elle-même est variée, c'est l'habillage qui ne l'est pas. On comprend que Cybertron est une planète couverte de métal, mais la peinture ça existe, or le titre est pratiquement en monochrome et mieux vaut ne rien avoir contre le gris, le bleu et le marron. Du coup, on a constamment l'impression de traverser le même environnement, encore et encore et encore.
Les transformations sont assez génériques et finalement peu utilisées.
Ces erreurs sont bien tristes, car en corrigeant le système de munitions ou en donnant un peu plus d'espace aux véhicules, La Guerre pour Cybertron aurait clairement gagné en estime mais en l'état, la campagne solo peine à décoller et reste celle d'un shooter moyen. La possibilité de la jouer à trois en mode coop parvient ceci dit à lui rendre un peu de piquant. Et une fois la campagne solo terminée, ce qui vous occupera tout de même une bonne quinzaine d'heures, vous pourrez toujours vous rabattre sur le multi. Ici, vous trouverez d'abord le mode Escalade qui consiste à affrontez des vagues d'ennemis de plus en plus nombreux en formant une équipe de 4 joueurs maximum. Plus loin vous retrouverez les habituels Capture de Drapeau et autre matches à mort ainsi qu'un système de récompenses qui devient décidément incontournable depuis Call of Duty 4. Vos exploits vous permettront donc de récupérer divers bonus et armements, chacun différant selon la classe du robot. Un multi relativement sympa mais qui ne laissera pas non plus de grands souvenirs.Ce jeu est pour moi mieu que TF 1-2-3.
transformers 3:la face cachée de la lune(jeu)
Si l'été amène toujours son lot de blockbusters hollywoodiens, on a aussi l'habitude de voir poindre des adaptations sur nos consoles, qui n'en demandaient pas tant. Une chose est sûre, Transformers 3 : La Face Cachée de la Lune, c'est comme au cinoche.
Lorsqu'on entre dans une salle de cinéma pour voir un film de Michael Bay, on sait qu'on va en prendre plein les mirettes. Ca bouge dans tous les sens, l'action est constante et tout objet aussi quelconque qu'un grille-pain est potentiellement explosif. Certes, les mises en abîme de la condition humaine sont rares, mais que voulez-vous, le but est de divertir nos pauvres âmes. Sans surprise, c'est exactement ce que compte faire le jeu en nous assourdissant de bims, de bams, et de boums.
Tout d'abord. Le scénario, si on peut parler de scénario, vous embarque dans une succession de missions dans chacun des deux camps : les Autobots, les gentils qui veulent défendre la Terre, et les Decepticons, les méchants qui veulent tout casser et dominer la galaxie. Puisqu'il est compliqué de jouer les pacifistes face à 40 tonnes de ferraille capables de lâcher des pluies de balles par tous les boulons, il va falloir faire parler les douilles. On commence doucement avec un didacticiel aux commandes de Bumblebee, un Autobot en reconnaissance dans une zone hostile. L'occasion de découvrir un arsenal de barbare constitué de deux armes surpuissantes, de grenades et d'attaques de mêlée. Si besoin est, une visée automatique peut vous aider à allumer les cibles qui osent se mouvoir alors que vous pouvez aussi sauter, d'une façon lourde et pataude d'ailleurs. Enfin, une capacité spéciale, exclusive à chaque personnage, permet en général de faire des ravages autour de soi, même s'il faut patienter quelques secondes entre deux utilisations.
Mais ce que tout le monde attend d'un Transformers, c'est de se transformer pardi ! Par une simple pression de bouton, vous pouvez donc passer en mode Overdrive et prendre la forme d'un véhicule, ce qui ne va pas sans de nombreux changements. Tout d'abord, vous vous déplacez bien plus vite et pouvez même enclencher un mode Conduite pure dans lequel vous pouvez déclencher un turbo. Malheureusement, la réalisation du titre commence déjà à faire parler d'elle car on a l'impression de glisser sur le sol comme une savonnette. Comme si cela ne suffisait pas, foncer dans un rocher de pleine face vous permet juste de rouler dessus, sans aucune impression de dégâts. Bref, autant dire que la conduite est complètement ratée. Mais rassurez-vous, ce n'est pas parce que vous êtes en mode Overdrive que vous ne pouvez pas démantibuler vos adversaires puisque vous aurez accès à deux nouvelles armes (en général, une mitrailleuse et un lance-grenades/roquettes).
Mirage ne disposera pas de ses armes pendant quelques minutes, l'obligeant à "s'inflitrer'.
Cela tombe plutôt bien puisque 90% du gameplay tourne autour de l'éradication de robots. Quelle que soit la mission et peu importe votre camp, vous affronterez des nuées d'ennemis qui débarquent généralement par packs de six dans le simple but de se faire aligner. Il faut dire qu'ils n'en ont visiblement pas beaucoup dans le processeur vu qu'ils agissent avec le discernement d'un bigorneau pendant la plupart des combats. Souvent, ils resteront plantés à une même position sans bouger, attendant que vous passiez dans leur viseur pour se mettre sur « On » et vous tirer dessus. Si vous en doutez, le meilleur moyen est de vérifier par vous-même. Placez-vous derrière un mur et laissez juste dépasser votre bras pour allumer un ennemi. Vous pouvez lui descendre toute sa vie, il ne réagira pas d'un poil... Ces problèmes d'IA sont d'autant plus drôles lorsque vous affrontez un boss. Par exemple, lors d'un long combat contre Starscream, ce dernier s'est soudainement immobilisé sans aucune raison, comme figé sur place, nous laissant l'allumer à foison. Les joies des pannes de scripts... En règle générale, ne cherchez pas à être technique, il suffit de foncer dans le tas et de bourriner pour réussir une mission. Toutefois, certains passages tentent de se la jouer fine comme une phase d'infiltration en camouflage optique ou encore une mission de sabotage avec Laserbeak. Malheureusement, tout cela reste très basique, à moins que passer derrière un ennemi immobile qui ne fixe qu'une direction constitue le summum de la discrétion.
La réalisation ne rend pas hommage aux capacités de la console.
Si le profil du titre n'est déjà pas des plus enchanteurs, nous n'avons pas encore parlé de la réalisation. Dans la famille « grosse licence, petits moyens », Transformers 3 est un véritable patriarche. D'un point de vue visuel, on est bien plus proche de ce que peut faire une Wii que des véritables capacités des consoles HD. On en est même choqué dès la première mission, située en extérieur, là où on peut apprécier les textures les plus laides et la végétation simpliste. Et si seulement c'était fluide... Des ralentissements viennent carrément violenter nos yeux lorsque trop de Transformers s'affrontent, comme si la console était au maximum de ses capacités... Pire encore, des chargements intempestifs peuvent intervenir en plein niveau, voire en plein combat ! De son côté, la caméra est loin d'être optimale sur les phases au corps-à-corps, heureusement peu nombreuses. Par contre, les effets spéciaux sortent légèrement du lot et sont plutôt réussis. Côté bande-son, les musiques sont très en retrait par rapport aux voix des robots extraterrestres. Ces dernières sont toujours aussi caricaturales, mais ça fait partie du charme de la série.
Les explosifs sont très efficaces.
Enfin, parlons du mode multi, d'un classicisme ultime. S'il est possible de choisir entre quatre classes et de customiser son robot grâce aux points d'expérience gagnés, seuls deux modes de jeu sont proposés, dont un aussi jouable par équipe. Ne cherchez pas une quelconque finesse dans leur principe d'ailleurs... Au final, ce Transformers 3 : La Face Cachée de la Lune est loin d'être une réussite. Si on aurait pu excuser le retard technique, il est évident que le gameplay redondant, la maniabilité des véhicules désastreuse et l'IA des ennemis aux pâquerettes en font une mauvaise adaptation. Ce n'est pas aujourd'hui que les fans de la série et des figurines pourront déboucher le champagne.Personnellement,je trouve le multi pas mal,pour moi, c lui qui sauve tout le jeu et certainement pas les 7 chapitres qui n'ont strictement rien a avoir avec lev film,de plus soundwave se transforme en un simple "taxi" au lieu d'une superbe mercedes sls!
transformers 2:la revanche(jeu)
Les Transformers accompagnent leur retour cinématographique par une nouvelle incursion ludique. Après la volée de bois vert reçue par la dernière tentative, les robots géants polymorphes vont-ils transformer l'essai ?
La Revanche, en voilà un titre inspiré pour ce second volet des Transformers. On ne dira rien du film, mais en ce qui concerne le jeu vidéo, ce sous-titre est lourd de sens. Après une première adaptation de triste mémoire, les Autobots et les Decepticons vont-ils enfin se sentir à leur aise sur la planète ludique ? Pas vraiment non. Pour commencer, et c'est loin d'être le plus gros problème du jeu, on ne peut qu'être étonné par la pauvreté des efforts narratifs dans ce qui reste pourtant l'adaptation d'un film. Pas la moindre cut-scene ou cinématique à se mettre sous la dent à l'exception d'un babillage sans intérêt entre les robots géants dans leur tanière entre deux missions. Mis à part ça, vous enchaînerez les missions sans réelle introduction ni explication. On en profite pour signaler que les doublages sont navrants et que le jeu nous assomme de répliques désastreuses répétées ad nauseam. Autant dire que côté ambiance, l'affaire est vite pliée.
Les occasions de profiter des transformations sont rares.
Quide du jeu ? Poursuivons le tableau en détaillant le mode de commande choisi qui a de quoi faire tourner la tête. Apprenez en effet qu'une touche sert à effectuer 3 actions. Au pad, il s'agit d'une gâchette. Une pression permet de passer en mode véhicule et de voir son Transformer se transformer. Si on relâche, il revient à son état "normal". Seulement cette même touche sert également à accélérer. Vous voyez venir le truc, une fois transformé, on est obligé d'avancer en essayant de ralentir en relevant un peu la gâchette mais pas trop. Mais ce n'est pas fini puisque cette même touche sert également à tirer lorsqu'on est en mode bipède. Si ce n'est que cette fois, il faut au préalable passer en mode Assaut en maintenant enfoncée une autre touche. Là encore, un choix très subtil qui ne manquera pas de semer la confusion lorsque l'action prend un peu de rythme, il est alors très fréquent d'aller trop vite en besogne et d'enfoncer la touche de tir avant la touche du mode Assaut et donc de se transformer comme un crétin au lieu de tirer. Partez pas, c'est pas fini. Vu que la gâchette doit être maintenue enfoncée pour que le Transformer reste dans son état de véhicule, la touche de tir est du coup déplacée vers une autre, celle qui en temps normal sert aux attaques de mêlée. Comme un dessin vaut souvent mieux qu'un long discours, sachez que face à une telle démonstration d'ergonomie, le joueur moyen ressemble à peu près à ça : o_O.
D'un campagne à l'autre, les objectifs restent les mêmes. Là où l'un répare, l'autre place un virus.
D'un autre côté, ces problèmes liés aux transformations ne sont même pas si dérangeants que ça pour la bonne et simple raison qu'elles ne servent à rien ou presque. La plupart des niveaux sont construits de telle sorte que changer de forme est souvent plus embarrassant qu'autre chose. Pourquoi se changer en avion de chasse pour parcourir un niveau qui doit faire à peine la taille de 3 quartiers ? Pourquoi vouloir profiter de la vitesse d'un bolide pour évoluer dans un minuscule coin de ville dans lequel on devra de toutes façons s'arrêter tous les 300 mètres pour se battre ? Les développeurs ont trouvé le moyen de passer à côté de ce qui fait toute la particularité de la franchise Transformers. A quelques exceptions près, on passera le plus clair de notre temps à marcher sur nos deux jambes à verins hydrauliques.
Se déroulant en environnement semi-ouvert, c'est-à-dire au sein d'arènes décorées comme un morceau de ville, de chantier ou de port, Transformers la Revanche se présente comme un jeu d'action particulièrement bourrin. D'ailleurs, même si sur le papier vos objectifs changent, ils reviennent toujours à détruire tous les ennemis présents, puis éventuellement à faire un truc quelconque. Seulement l'action même du jeu est sournoisement ennuyeuse. Tout d'abord, vos attaques ont toutes l'air d'avoir la force d'un jet de pétale de violette. Ce malgré les améliorations qu'ils est possible d'apporter à vos armes. Ensuite, l'IA adverse est pathétique. On relève trois types de comportements. En premier lieu, les ennemis qui restent figés sur un toit en attendant la mort. Viennent ensuite les jaloux qui cherchent à tout prix à grimper sur un toit en escaladant un mur, ce qui les laisse sans défense et vous donne tout le loisir de les achever. Enfin, on trouve les plus idiots, ceux qui tournent en rond dans le niveau et qu'il faut fréquemment aller chercher soi-même pour pouvoir, finalement, terminer une mission. Encore que l'hésitation soit grande tant l'envie de passer à la mission suivante décroît à vitesse grand V. Comme on l'a dit, elles se ressemblent toutes et pour arranger encore un peu les choses, on n'hésite pas à nous resservir encore et encore les mêmes environnements fades et sans personnalité. A titre d'exemple, c'est à Shanghai que débute le jeu mais le décor qui nous y attend pourrait aussi bien servir à représenter New York, Bruxelles ou Clermont-Ferrand.
Enfin, que personne ne se laisse avoir par la présence de deux campagnes, dédiées aux deux factions opposées, elles sont rigoureusement identiques. Quand un Autobot doit détruire les Décepticons et réparer un objet, le Decepticon doit détruire les Autobots et neutraliser l'objet. Et ben... En somme, une fois une campagne terminée, ce qui ne prend pas des heures et des heures, on peut ranger le jeu dans un placard. A moins d'être tenté par le multi, hyper classique et franchement pas suffisant pour justifier l'investissement mais qui nous permet quand meme de profiter avec d'autre joueur en pouvant commander n'importe quel robot.Sinon,le transformers 1(le jeu) est tout de meme un peu meilleur que celui-ci.
transformers : le jeu
Bien que Transformers ait connu un revival depuis quelques années dans le petit monde du comics et du dessin animé, le jeu vidéo s'est un peu tenu à l'écart du "phénomène". Ainsi donc, si on excepte la bonne surprise que fut le Transformers de Melbourne House sorti en 2004 sur PS2, il conviendrait d'effectuer des fouilles archéologiques pour découvrir une autre relique à la gloire des amas de boulons. Dans un sens, Transformers Le Jeu est ainsi un jeu à accueillir les bras ouverts même s'il n'aurait probablement jamais vu le jour, et ce même sous une autre forme, sans le film éponyme. Maintenant, est-ce à dire que cette réalisation de Traverler's Tales vaut le détour de par le simple fait d'exister ? Pas si sûr, pas si sûr du tout.
Lorsque Michael Bay annonça pour la première fois une adaptation cinématographique de Transformers, on était en droit de rire un bon coup. Et puis, finalement, après les premières images entraperçues, les teasers et autres trailers, l'appréhension se mua en attention non dénuée d'intérêt. Et si le long-métrage de Transformers pouvait nous faire passer un bon moment ?! L'adaptation vidéoludique ne généra pas vraiment le même enthousiasme, même si le développement fut confié à Traveler's tales, responsable des très sympathiques LEGO Star Wars. De fait, c'est une bonne chose car dans ce cas de figure, il arrive que des jeux à franchises nous réservent quelques bonnes surprises, comme ce fut par exemple le cas avec la plupart des James Bond d'Electronic Arts. Malheureusement, autant dire tout de suite que le titre qui fait l'objet de ce test n'entre pas du tout dans cette catégorie.
Les missions tournent toutes autour de la destruction massive.
De l'aveu même d'Activision, Transformers Le Jeu n'a pas pour ambition de révolutionner le genre du jeu d'action ni de bomber la calanque en se vantant être le plus beau jeu de la console. Cet élan d'honnêteté est tout à l'honneur de l'éditeur qui entend donc proposer au joueur un titre se voulant avant toute chose un défouloir extrême où il est question de tout détruire et d'utiliser n'importe quel élément du décor afin de s'en servir comme arme. A ce titre, on ne criera pas au loup puisqu'il est effectivement possible d'utiliser n'importe-quel élément du décor pour s'en servir comme arme. Poteaux, arbres, gravats, barrières, voitures, bus, tout peut avoir une utilité entre vos grosses paluches de métal. Génial, criera l'amateur éclairé d'autant qu'il est possible de vivre l'aventure principale (seul mode disponible, le online ayant été volontairement laissé de côté) en incarnant un Decepticon ou un Autobot, les missions étant bien sûr différentes d'un camp à l'autre. Pour schématiser, disons que l'histoire des Decepticons sera placée sous le signe de la destruction alors que vous serez pénalisé, ou poursuivi par les flics, si les dégâts collatéraux sont trop élevés lorsque vous incarnez un Autobot.
Ecoute fils, maintenant que le jeu de papa est sorti, papa va devoir partir loin, très loin. Allez viens embrasser papa.
A ce stade, rien ne prédestine Transformers Le Jeu à terminer tout au fond d'un puits sans fond donnant lui-même sur un abîme sans fond... Très profond. Sauf que tout s'emballe une fois qu'on se lance à corps perdu dans une partie. Avant toute chose, il faut savoir que le fait de disposer de deux transformations (robot et véhicule) sera mis à contribution pour amener divers objectifs qui se résument la plupart du temps à du "tatanage" massif de méchas et d'immeubles ou de poursuites (sur terre ou dans les airs) se terminant elles-mêmes en bastons généralisées. Pourquoi pas après tout, Transformers n'étant pas à proprement parler une oeuvre profonde sur la dichotomie entre le Moi et le Surmoi. Le hic est que le gameplay se révèle vite catastrophique. Le lock, à commencer, est à la ramasse et aurait mérité une plus grande précision, ne serait-ce qu'en évitant de cibler aussi bien véhicules neutres qu'ennemis. Ensuite, la difficulté est extrêmement mal gérée, certaines missions de trois minutes se terminant en 30 secondes alors que d'autres sont désespérément difficiles, les attaques venant de tous les côtés. Sachant qu'on ne peut choisir son niveau de difficulté, préparez-vous à criser un bon nombre de fois.
Une phase en hélicoptère à faire retourner dans sa tombe Springfellow Hawke.
Pour revenir à la jouabilité, citons également le fait que la puissance des armes des robots soit mal calibrée, un tir continu de mitraillette étant plus puissant qu'une salve de missiles. De plus, il est étrange de voir avec quelle lenteur se meut notre mécha une fois qu'il a ramassé une simple grille ou un palmier. En parlant de ça, on trouvera aussi très drôle la technique qui consiste à utiliser un arbre pour abattre rapidement un robot, beaucoup plus sensible à un panneau indicateur qu'à des armes lourdes. On me rétorquera alors qu'il est quand même bien fun de pouvoir changer de forme à tout moment, qu'une dizaine de véhicules (hélicoptère, avion de chasse, voiture, camion, tank...) sont à disposition et qu'il est possible d'user d'un turbo pour s'offrir quelques sensations fortes. Bref, faisons court et concis, Transformers Le Jeu et pour moi genial et vaut la peine de se l'acheter meme si il n'a pas de multijoueur,les graphisme sont plutot bien réussi, meme si le gamepay laisse a désirer.Nous avons tout de meme un bon scénario.